L'anthologie établie par Leili Anvar rassemble les textes de quarante et une poétesses afghanes, du Xe siècle à nos jours.
Littérature
L’amant de dame Clarisse
Inspiré de L’amant de lady Chatterley, de D. H. Lawrence, le nouveau livre de Claire Fourier est un grand chant lyrique et passionné.
Une enfant cachée
Jean-Louis Coatrieux retrace le chemin d'espérance et de souffrance d’Erika Weiss, jeune Juive ballottée d’une demeure à une autre en France pendant la guerre.
Une apocalypse joyeuse
Avec Dissipatio H.G., écrit en 1973, Guido Morselli propose une parabole dénonçant le monde créé par le « miracle économique italien » de l’après-guerre.
Soudan tragique
Les noyées du Nil de Hammour Ziada relate les destins croisés de quelques habitants d’un village soudanais à la fin des années 1960.
Les sons d’une époque
Des sensations fugaces, des chansons, des livres : tels sont les « morceaux » qui constituent la vie de Patrick Varetz, qui publie Nu-propriétaire.
L’arc-en-ciel de l’évasion
La multiplication des feux follets, premier roman encyclopédique et ludique de Raquel Taranilla, rappelle les fictions de David Foster Wallace ou de Jorge Luis Borges.
Le pays des chantiers navals
Avec De notre monde emporté, Christian Astolfi relate les dernières années des chantiers navals de La Seyne-sur-Mer et donne une voix à la parole ouvrière.
Une imagination transgénérationnelle
Irene Solà signe un roman sublime et violent qui, après avoir connu un grand succès en Espagne, vient d’être traduit en français.
Dans la désolation amazonienne
Au cœur de l’Amazonie, le premier roman de Pedro Cesarino nous plonge dans le quotidien morose d’un anthropologue brésilien.
Un avatar du roman afro-américain des années 1970
Le premier roman de Gayl Jones, Corregidora, qui paraît aujourd’hui en traduction française près de cinquante ans après sa sortie aux États-Unis, est symptomatique d’un tournant que prenait alors la littérature afro-américaine.
L’Amérique en bras de chemise
La jeune maison d'éditions Manifeste ! réédite les Lettres d’Amérique de Rupert Brooke, préfacées par Henry James et traduites par Jean Pavans.