Le volume IV des Œuvres complètes de Roberto Bolaño propose un vagabondage à travers les lisières et les marges de l’œuvre complexe du romancier chilien.
Littérature étrangère
Marathon Man
Le nouveau roman de Lionel Shriver se focalise sur la condition physique, obsession américaine : le corps serait-il la dernière frontière ?
Mort à Venice Beach
Sous le signe des poissons, de Melissa Broder, actualise à Los Angeles et avec beaucoup d'humour la célèbre nouvelle de Thomas Mann.
Quatre heures-lumière
Le genre de la novella, ou court roman, est peu identifié en France. Un manque que tente de combler la collection « Une heure-lumière » des éditions du Bélial’, qui vient de faire paraître trois livres de Greg Egan, Ken Liu et Lucius Shepard.
Un grand méconnu, Carl Seelig
L’éditeur Carl Seelig fait apparaître l’écrivain suisse Robert Walser dans toute l’originalité et la force convaincante de sa personnalité, à la fois singulière et si familière.
L’œuvre-monde de Tagore
La collection Quarto propose un volume à la mesure des Œuvres polyphoniques de Rabindranath Tagore (1861-1941).
Femme des années trente
La reparution du roman Une vie étincelante confirme la place éminente tenue par Irmgard Keun dans le courant de la Nouvelle Objectivité.
Entendre les voix des femmes guerrières
Défriche coupe brûle, le premier roman de la Salvadorienne Claudia Hernandez, est une fresque sans romantisme, d’une beauté violente, où les femmes naissent et meurent guerrières.
La femme du gaucho
Dans un style qui efface les frontières entre culture savante et culture populaire, Gabriela Cabezón Cámara interroge l’identité argentine.
Le monde en Mandelstam
En 1930, au pire moment du scandale orchestré autour de lui par une accusation de plagiat, Ossip Mandelstam décroche un voyage en Arménie. Son texte de notes et de souvenirs est aujourd’hui « tiré à part ».
Les placards de famille
Il y a des textes dont une seule lecture suffit largement à épuiser le sens : La clause paternelle, de Jonas Hassen Khemiri, n’appartient pas à cette catégorie.
L’obscure extravagance de vivre
Pour Alejandra Pizarnik, écrire permettait de « donner du sens à la souffrance ». Les éditions Ypsilon font paraître les premiers cahiers du Journal de la poétesse argentine (1936-1972).