Dans Une blouse serrée à la taille, Gérald Sibleyras raconte sa mère allemande, Emma, née en 1929, son enfance sous le nazisme, puis la guerre.
Littérature
Plongée dans les limbes
Vingt hommes, dirigés par une femme, s’embarquent à Saint-Nazaire sur un navire de marchandises. Ultramarins, le premier roman de la dramaturge Mariette Navarro, nous envoûte.
Une promenade au bord de l’abîme
Le volume IV des Œuvres complètes de Roberto Bolaño propose un vagabondage à travers les lisières et les marges de l’œuvre complexe du romancier chilien.
Tout à fait clair
Le nouveau roman de Christine Angot se présente comme un chemin compliqué vers la vérité et comme une encyclopédie de l’ensemble de son œuvre.
Ne pas pleurer des délires d’Orphée
David Diop continue d’ausculter l’Histoire en usant de la fiction pour comprendre la rencontre ratée entre le rationalisme des Lumières et l’Afrique.
La littérature en cellule
Après 77, voici G.A.V., le deuxième roman indispensable de Marin Fouqué : le jeune romancier y donne la parole à plusieurs individus en garde à vue, au policier qui les surveille, et laisse la tension monter.
Marathon Man
Le nouveau roman de Lionel Shriver se focalise sur la condition physique, obsession américaine : le corps serait-il la dernière frontière ?
Sauter dans le vide
Un livre d’entretiens avec Laurent Mauvignier nous permet d’entrer à la fois dans l’atelier et dans la bibliothèque de l’auteur de Loin d’eux, Des hommes et Histoires de la nuit.
Livres de poésie
La poésie contemporaine a de multiples visages : Alain Roussel rend compte des recueils de Pierre Dhainaut, Jean-Pierre Chambon et Michaël Glück, Erwann Rougé, Jean-Pascal Dubost, Didier Henry et Claudine Bohi.
Mort à Venice Beach
Sous le signe des poissons, de Melissa Broder, actualise à Los Angeles et avec beaucoup d'humour la célèbre nouvelle de Thomas Mann.
Un personnage de non-fiction
Au-delà du crime, Florence Aubenas raconte les hommes et femmes qui composent le drame de Montréal-la-Cluse dans L’inconnu de la poste.
Le son du blanc
En 1981, Jacques Roubaud théorise, sous la forme d’un poème, une manière de lire la poésie, et lance une mode : la « lecture blanche ».