Le dernier roman de Tahsin Yücel (1933-2016) raconte les contradictions de la Turquie entre affirmation nationaliste et tropisme occidental.
Littérature étrangère
Appelfeld, le livre d’après
La stupeur, le dernier roman écrit par Aharon Appelfeld, est traduit aujourd’hui en français. En même temps est réédité L’héritage nu, une série de trois conférences.
Le bonheur, le bonheur…
Une arche de lumière, le dernier roman de l'écrivain irlandais Dermot Bolger, vient d’être traduit en français.
La vie, un jeu périlleux
Dans La vie avec Marianne, Xaver Bayer entraîne chaque jour ses personnages dans une nouvelle aventure où la réalité se transforme rapidement en cauchemar.
Polygamie contrainte dans les montagnes albanaises
L’écrivain albanais Luan Rama relate avec sensibilité l'histoire que lui a racontée sa grand-mère Dalia, confrontée à une cruelle alternative.
Les deux formes de la vie
L'intégration de Luciano Bianciardi, qui raconte le mouvement de deux frères d’une petite cité toscane vers Milan, est traduit pour la première fois.
L’étoffe du cauchemar
Un fils perdu, troisième roman traduit en français du Biélorusse Sacha Filipenko, prolonge la grande tradition de la satire politique.
Entretien avec Ludmila Oulitskaïa
On retrouve dans Le corps de l’âme, le nouveau recueil de récits de Ludmila Oulitskaïa, le regard si particulier, toujours poétique, que l’écrivaine russe pose sur le réel au fil de ses livres.
Trois livres venus de l’Orient lointain
Les Mémoires d’un journaliste dans la Chine du XXe siècle, un court drame social, un récit de Natsumé Sôseki : trois livres pour écouter les voix diverses de l’Est lointain.
D’où vient la violence ?
Dans Paradaïze, son nouveau roman, Fernanda Melchor nous met face à la brutalité de la misogynie qui sévit dans le quotidien mexicain.
Le corps se souvient
Eszter T. Molnár décrit en trois langues comment trois narratrices essaient de vivre et de se reconstruire après un viol subi dans l’enfance.
Journal d’un dehors interdit
Pendant le premier confinement, l’écrivain portugais Gonçalo M. Tavares a écrit chaque jour un texte. Ils sont aujourd’hui rassemblés en un volume, Journal de la peste.