Anne Steiner raconte admirablement la trajectoire d’Eugène Vigo, dit Almereyda, Révolutionnaire et dandy, journaliste, agitateur, polémiste.
Essais
Le retour de Kaspar dans l’histoire
Hervé Mazurel développe une approche d'historien originale qu’il met en œuvre magnifiquement dans un essai sur le célèbre cas Kaspar Hauser.
La mort de Walter Benjamin
Le Seuil republie les Souvenirs de Lisa Fittko, qui racontent les événements entourant la mort du philosophe.
Munhakdongne : revenir au point zéro
Munhakdongne, l'un des noms les plus influents de la littérature sud-coréenne, a fêté son numéro 100 en proposant à cent écrivains de définir la littérature.
Positif : un contrepoids critique
Paru en janvier 1969, le numéro 100 de Positif atteste d’une ouverture et d’une rigueur critique qui feront sa force lors des décennies suivantes.
Petite revue des moins que cent
Ils n’ont jamais compté jusqu’à cent : Le Tigre, Sorcières ou Poèzi Prolétèr n’en sont pas moins restés ancrés dans notre imaginaire.
Allemagne d’aujourd’hui : pour une réalité allemande
La première Allemagne d’aujourd’hui, revue d’information et de recherche sur l’Allemagne, paraît de 1952 à 1957, avant de reparaître à partir de 1967.
Le Vocatif : le surréalisme belge
Le numéro 100 de la revue belge Le Vocatif, fondée par l’hyperactif Tom Gutt, propose une véritable anthologie du surréalisme en Belgique.
NRF, un numéro « sans »
Le 1er janvier 1922, la NRF publie son centième numéro. C’est un numéro sans : sans tambour ni trompette, sans texte fondamental.
Critique : des plumes déjà connues, d’autres pas encore
Le centième Critique est paru en 1955. Plus impressionnante encore que la diversité des livres recensés, la qualité des auteurs recrutés par Georges Bataille, Jean Piel et Éric Weil.
Éphéméride des numéros 100
Hugo Pradelle a sélectionné une vingtaine de quotidiens, du milieu du XIXe siècle à la Seconde Guerre mondiale. Un éphéméride subjectif de numéros 100.
Die Fackel : la Vienne de Karl Kraus
Le numéro 100 de Die Fackel, dirigée par Karl Kraus, paraît en 1902. On y retrouve déjà le ton du satiriste en guerre contre la corruption dans tous les domaines de la société.