Dès le premier volume des carnets de travail de Patrice Chéreau, on découvre un jeune homme passionné, étonnamment lucide. Tout semble déjà là : sa conviction du lien qui existe entre politique et esthétique, son perfectionnisme obsessionnel et son travail avec les acteurs.
Le journal de Käthe Kollwitz vient d’être traduit. Admirée pour ses œuvres, elle était respectée en Allemagne comme à l’étranger où on voyait en elle « l’artiste de la Révolution et du prolétariat » et une opposante farouche à la guerre.
Guernica est sans doute le plus célèbre tableau de Picasso. L’exposition qui se tient au Musée Picasso nous plonge dans sa genèse.
« Autant le dire tout de suite : je déteste les chats et adore les chiens. C’est donc avec une absence totale d’objectivité que j’ai abordé le dernier film de Wes Anderson. »
En mettant en scène L’éveil du printemps de Frank Wedekind, Clément Hervieu-Léger essaye de prolonger un dialogue amorcé il y a quinze ans avec Patrice Chéreau.
Guillaume Basquin nous présente le travail de la cinéaste Tacita Dean, la manière dont elle conçoit le geste filmique, sa durée, sa matérialité, sur ce qu’il implique vraiment.
Deux brefs essais, incisifs et réjouissants, questionnent la place de la pop culture et de la la bande-dessinée dans nos sociétés.
Le livre du célèbre ténor Ian Bostridge sur Schubert est une étude musicologique, une somme sur le contexte historique et artistique qui l’entoure et l’« anatomie d’une obsession » personnelle.
La bibliothèque de la Maison européenne de la photographie rassemble plus de 32 000 volumes. On pourra en découvrir, au gré d'un beau livre illustré, les plus extraordinaires.
Encore Phèdre ? Oui, mais cette fois la pièce de Sénèque, dans la traduction de Florence Dupont et la mise en scène de Louise Vignaud.
À l'occasion du centenaire de la disparition du compositeur, la brève biographie de Philippe Cassard propose une vision impressionniste de l’existence de Claude Debussy.
Voici la sixième édition, revue et augmentée, des Histoires vraies de Sophie Calle, publié pour la première fois en 1994. Un livre entre la pudeur et l’impudeur, le dire et le taire, le montrer et le cacher.
