Cinéaste français, il voulait des décors américains. Il a influencé Jarmush, Mann, les frères Coen, John Woo, Kitano. Ses films sont singuliers, uniques, absolument personnels. Antoine de Baecque présente, en neuf chapitres, la vie et l’œuvre de Jean-Pierre Melville.
The Deuce, la nouvelle série de David Simon, nous parle de prostitution, de la naissance de l’industrie pornographique aux États-Unis, de notre morale.
Gala, le spectacle de Jérôme Bel, met en scène des danseurs et des danseuses qui ne correspondent pas aux canons physiques et techniques habituels.
Schelomo d’Ernest Bloch est une œuvre importante du répertoire pour violoncelle. On pourra comparer les interprétations d’Ophélie Gaillard avec celle de Marc Coppey.
Ionesco a longtemps dessiné, en amateur. En 1981, à tout petit tirage, il publiait un album de lithographies gravées sur pierre que l’on peut découvrir aujourd’hui.
Au Studio Hébertot, Mina Poe tient le rôle principal d’une immigrée yougoslave dans la pièce du Serbe Jovan Atchine, You You, et c’est une performance.
Un des plus remarquables spectacles de la rentrée : Au but de Thomas Bernhard, mis en scène par Christophe Perton.
Les œuvres de Sylvie Gouttebaron procèdent d’une pratique photographique « qui dit vrai ».
Extrêmement ambitieux dans sa démarche et ses prises de position, La Révolution digitale dans la musique d'Harry Lehmann n'est pas entièrement convaincant.
François Lazarevitch propose une version particulièrement virtuose des Fantaisies pour flûte seule de Telemann et une sélection de concertos de Vivaldi, arrangés parfois de façon étonnante.
Experimental Music de Michael Nyman est un document majeur pour la compréhension des mouvements musicaux expérimentaux anglo-saxons des années 1950 et 1960.
Marie Étienne, qui a accompagné Antoine Vitez, revient, dans un livre extrêmement sensible, sur ces années passées aux côtés du grand homme de théâtre.
