Au Studio de la Comédie-Française, une première pièce de l’auteure internationalement reconnue Lluïsa Cunillé, Massacre, est mise en scène par Tommy Milliot.
Arts
Saint-Étienne, chaudron de l’art moderne
Le Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne honore Maurice Allemand, son directeur entre 1947 et 1966, qui fit de la ville un avant-poste de l’art moderne en France.
La Mouette : Lika/Nina
Deux spectacles font entendre les mêmes mots de La Mouette : Correspondance avec La Mouette de Nicolas Struve et Passagères de Daniel Besnehard.
Le marché de la peur
Spectacle aux accents burlesques, Sécurilif critique avec justesse le marketing de la peur et la surenchère fatale du principe de sécurité.
Des Anges raccourcis
Arnaud Desplechin fait entrer Angels in America au répertoire de la Comédie-Française en donnant une version réductrice de la pièce de Tony Kushner.
Chaplin à l’avant-garde
Derniers jours de l’exposition consacrée à Chaplin au Musée d’arts de Nantes, qui étudie les liens entre le père de Charlot et les artistes d’avant-garde de la première moitié du XXe siècle.
Antoine Vitez, poète
Dans Antoine Vitez & la poésie, Marie Étienne entreprend de qualifier l’atmosphère poétique qui entourait le grand metteur en scène.
D’atelier en atelier : chez Louis Tartarin
Troisième visite d'atelier en atelier par Gérard Noiret : il se rend chez Louis Tartarin, pour qui « ne comptent que ceux qui sont fous de quelque chose ».
Jeux de miroirs
Le pianiste Javier Perianes et l’Orchestre de Paris mettent en regard des œuvres pour piano de Maurice Ravel et les orchestrations que le compositeur en a lui-même proposées.
L’art, c’est queer
La galeriste Isabelle Alfonsi propose de « construire les lignées d’un art queer » pour donner un autre avenir à l’art contemporain.
Claude Régy et le fond du théâtre
En 1978, puis en 1983, Claude Régy monte deux textes de Peter Handke. Leur traducteur en français, Georges-Arthur Goldschmidt, se souvient du travail avec le metteur en scène décédé le 26 décembre 2019.
Regards suppliciés
L'exposition Cruels objets du désir met en scène les œuvres de jeunesse de Giacometti en traçant un rapport éclairant avec sa lecture de Sade.