Trois expérimentations de Giovanni Antonini et Patricia Kopatchinskaja, Herbert Schuch et Hans Zender confrontent hier et aujourd'hui.
Arts
L’art d’après la farce
Le critique d’art américain Hal Foster explore les œuvres d’art qui affrontent la réalité politique incarnée par Donald Trump.
L’art de l’esquive
La monographie que Jean-François Chevrier consacre à Bernard Réquichot tente de restituer toutes les dimensions de son œuvre.
Retour d’Art Paris
Le vif de l’art s’est promené dans les allées d’Art Paris : la foire d’art contemporain marque le retour, provisoire, peut-être éphémère, d’événements qui avaient été annulés les uns après les autres.
Baldwin fourvoyé
En 1964, James Baldwin publia une pièce, Blues for Mister Charlie. La désaffection pour cette œuvre, aujourd’hui traduite en français, est méritée.
Les labyrinthes enchantés de José Roosevelt
Avec treize volumes publiés entre 2007 et 2019, Ce, de José Roosevelt, vient ponctuer une carrière à part, atypique et attachante.
Venise, ville de bruits
Avec Carnet de Venise, le compositeur de musique concrète Pierre Henry rend musicaux tous les bruits d’une ville qui se prête merveilleusement bien à sa pratique.
Dans les fondations
Après deux galeries parisiennes, Paul Bernard-Nouraud rejoint Arles et Avignon pour visiter les expositions temporaires de deux fondations, Van Gogh et Lambert.
Divertimento pour voix et orchestre
Une quinzaine de penseurs écoutent ensemble le premier mouvement de la Cinquième Symphonie de Beethoven. L’occasion d’échanger leurs impressions sur cette œuvre et, plus généralement, de parler musique.
Il est rien chouette, Pilote !
Astérix, Blueberry, Tanguy et Laverdure, Achille Talon, Valérian, mais aussi le Grand Duduche et le Génie des Alpages : ils ont tous été publiés dans Pilote, dont le numéro 100 a paru en septembre 1961.
Autour de la rue Saint-Claude
EaN ouvre une nouvelle chronique consacrée à l’actualité de l’art contemporain. Premier rendez-vous rue Saint-Claude, à Paris.
Penser avec Carl Einstein
« Semer des idées sans qu’on lui en attribue le mérite » : tel a été le sort de l’historien de l’art allemand Carl Einstein, dont Isabelle Kalinowski a traduit une vingtaine de textes inédits en français.