Peut-on écrire à la bêtise ? Faut-il, dans cette lettre, la vouvoyer et garder ses distances, ou la tutoyer familièrement ? Est-elle capable de nous entendre ? Sommes-nous capables de la comprendre ?
Alain Roussel
L’apprentissage de la nature
Le deuxième volume des Écrits de nature d’Alexis Gloaguen, dans le fil de ses textes précédents, associe travail de philosophe, de poète et de naturaliste.
Poésie syrienne
Alors que la violence ravage la Syrie, il faut lire l’anthologie de la poésie syrienne, contemporaine composée par Saleh Diab.
Comme un chant perdu
Joël Vernet, dans La vie buissonnière, brouille les frontières entre roman, récit poétique, journal de voyage, et poursuit un cheminement littéraire singulier.
Un arpenteur de la mémoire
Jacques Josse se plonge dans son passé, dans la mémoire même de son écriture. Comptoir des mots revient sur le choc initial qu’a été pour lui la lecture des poètes de la Beat Generation.
Dénudations épidermiques
Le suicidé de la société d'Antonin Artaud figure à part dans la collection « L’Imaginaire », ce qui lui redonne toute sa densité et son extraordinaire vitalité.
Traduire sa vie
Lire Le vertige des étreintes d'Albert Bensoussan, c’est s’abandonner à un tourbillon d’écriture et de vie, à un vaste mouvement circulaire qui est l’une des clefs de ce livre.
Kenneth White, la poésie-monde
La poésie de Kenneth White paraît inclassable, toujours en mouvement. Son dernier livre s’inquiète d’une désintégration de ce qui fonde la civilisation occidentale.
Favola in musica
Grand amateur d’art lyrique, Gérard Pfister écrit des poèmes qui tablent sur l’écoute autant que sur le regard.
Jérôme Peignot et ses amis célèbres
Jérôme Peignot dessine de mémoire des Portraits en miroir : Matisse, Bataille, Éluard, Colette, Noël, Cendrars, Barthes, Aragon ou d’autres.
La porte fermée des choses
Avec Cela, Laurent Albarracin approfondit sa démarche poétique, quelque part entre le sensible et la métaphysique, ou plutôt en les liant intimement.
Paracelse, l’infréquentable
Les dits et maximes de vie de Paracelse raviront aussi bien ceux qui connaissent déjà ce « médecin maudit » que ceux qui découvriront l’un des auteurs les plus singuliers de la Renaissance.