Dans un récit à la fois poignant et sans fard, Yaël Pachet tente de saisir au plus près le deuil d’un père, la disparition d’un intellectuel admiré, la fin d’une complicité.
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Hommages à Pierre Pachet
Pierre Pachet, écrivain, critique subtil et membre fondateur d'En attendant Nadeau, reçoit des hommages de tous les horizons.
Pierre Pachet (1937-2016)
En attendant Nadeau est en deuil. Elle perd l’un de ses fondateurs, le fougueux compagnon de route de la Quinzaine littéraire de Maurice Nadeau, l’écrivain sensible ouvrant des territoires toujours plus nombreux à l’autobiographie, le critique subtil, parfois emporté, intelligent toujours.
Le promontoire émotif
« On peut donc se demander ce qu’était l’esprit de Pachet. Je veux tenter de le circonscrire par une formule : faire œuvre »
L’inquiétude et la lucidité
Les éditions Pauvert rassemblent en un volume neuf livres de Pierre Pachet, neuf « tentatives » d’affronter avec une « impudeur énigmatique » un réel à la fois très intime et très communément partagé.
Le vertige
EaN publie un texte de Catherine Coquio, qu'elle a lu lors du colloque « Pierre Pachet, un esprit aux aguets », organisé à Paris 7.
Archives de Unes
Archives de une d'EaN : tous les numéros depuis le 16 janvier 2016, avec les sommaires et les éditos, pour retrouver tous nos articles.
L’indignité antisémite
Pour la deuxième fois en moins d’un an, la plaque apposée sur l’immeuble où Pierre Pachet a vécu et travaillé a été souillée par deux tags antisémites. Nous vous proposons de relire le texte que Yaël Pachet avait écrit dans Libération lorsque pour la première fois cet acte honteux s’est produit.
La curiosité, l’ennui
Pierre Pachet a beaucoup écrit sur les passions, les sentiments et les humeurs (amour, peur, oubli, colère, mélancolie) mais surtout sur ses deux favoris : la curiosité et l’ennui.
Désoccupé
Désoccupé, une chronique que Pierre Pachet a publié dès le premier numéro d’En attendant Nadeau, journal qu’il avait participé à fonder.
Merci, Pierre !
« Ces derniers temps, nous évoquions le phénomène de l’intuition et de la naissance des idées. Il avait abordé ce thème dans plusieurs essais ; longtemps avant que les chercheurs des neurosciences ne s’en emparent, la question le passionnait. »
En quête de l’âme
«Il avait la littérature chevillée au corps, je veux dire par là qu’il savait analyser une œuvre et en transmettre la passion d’une manière tout à fait libre et souvent surprenante, mais aussi, comme ce fut le cas lors d’un colloque sur Tolstoï à la Bibliothèque de France, qu’il était capable de piquer une saine colère lorsqu’il estimait qu’une trahison de sens se profilait.»