Fondée en 1996 par Aïssa Khelladi et Marie Virolle, la revue Algérie Littérature/Action célèbre, à l’occasion de son numéro 100, ses 10 ans d’existence, en revenant sur les origines de son numéro 1.
Essais
Il est rien chouette, Pilote !
Astérix, Blueberry, Tanguy et Laverdure, Achille Talon, Valérian, mais aussi le Grand Duduche et le Génie des Alpages : ils ont tous été publiés dans Pilote, dont le numéro 100 a paru en septembre 1961.
Trafic : le cinéma et les textes
Pour son vingt-cinquième anniversaire, Trafic a proposé à de nombreux contributeurs d’écrire sur un texte ou un ouvrage consacré au cinéma.
Entre Londres et New York, des anniversaires annuels
Numérotés par tome et fascicule, The Times Literary Supplement et The New York Review of Books n’ont jamais fait paraître de numéro 100.
Novos Estudos Cebrap : un Brésil alternatif
Novos Estudos Cebrap est une des plus prestigieuses revues académiques du Brésil. Son numéro 100 a été publié un mois après la réélection de Dilma Rousseff, en 2014.
Défense de L’infini
En 1982, Tel Quel s’interrompt, six numéros avant sa centième édition. En 1983, L’Infini prend sa suite.
Libération : un assez July numéro 100
Libération a eu deux numéros 100 : le premier, en 1973, est celui de la première formule ; le second est celui du Libé de 1981, professionnalisé, mais au fonctionnement encore très particulier.
Lamalif : passion et nostalgie
Le centième numéro de Lamalif, publié à la rentrée 1978, se focalise sur la situation scolaire, économique et politique au Maroc.
Subsidia pataphysica : l’an Cent de l’ère pataphysique
L’an Cent de l’ère pataphysique, qui commence le jour de la naissance d’Alfred Jarry, fut célébré par le numéro 18 des Subsidia pataphysica.
Combat : la Résistance au quotidien
Le 5 octobre 1944, un mois à peine après la Libération de Paris et de sa banlieue, est imprimé le centième numéro de Combat.
Une façon populaire de chercher
Manon Ott invite à « découvrir les couches d’histoire successives dans lesquelles prennent racine les réalités actuelles des quartiers mais aussi le regard qu’on leur porte ».
Un doux fantôme
Sur le célèbre portrait dit des écrivains du Nouveau Roman, Claude Ollier se tient sur la droite, de profil, presque dans la marge. En homme « à l’écart et à l’écoute ».