Matérialisme et zones érogènes explique pourquoi et comment Patricia Galvão, jeune fille de la petite bourgeoisie de Saõ Paulo et icône de l'avant-garde littéraire brésilienne, devint militante communiste.
Odile Hunoult
Laissez-passer pour l’immortalité
En partie traduite jusqu’alors, la gigantesque correspondance d’Emily Dickinson est pour la première fois éditée en entier en français.
Tsvetaeva, la vie même
Après la parution de deux volumes rassemblés sous le titre de Poésie lyrique, on peut désormais découvrir les Grands poèmes de Marina Tsvetaeva.
Ulysse est de retour
L’œuvre de Mandelstam projette dans l'espace et le temps des architectures arachnéennes où tout se répond, se correspond, et apparaît toujours inattendu.
Walter, et l’innommable
Publié un an avant sa disparition, en 1979, Holocauste de Charles Reznikoff s’est imposé comme un texte poétique majeur. C’est une bonne raison de le republier dans une traduction d’André Markowicz.
Le crépitement-roulement de Tsvetaeva
Marina Tsvetaeva écrit en 1925 Le charmeur de rats, un long poème construit comme un opéra, qui est une allégorie de la vie des Soviétiques.
Georges Perros à la recherche d’Henri Thomas
La correspondance entre Georges Perros et Henri Thomas, mélange de légèreté, de distance, de tragique, de pudeur, de sensitivité, est un régal littéraire.
Un auteur qu’on oublie difficilement
Les livres du poète Ishikawa Takuboku laissent une étrange persistance sur la rétine, triste et énigmatique.
Maïakosvki en Amérique
Le carnet de voyages de Maïakovski aux États-Unis, à Cuba et au Mexique de mai à octobre 1925 est un reportage passionnant, entre le cahier des charges soviétique et l'onirisme visionnaire d'un voyageur poète.
On your tongue
Dans Envers toi, François Cornilliat reprend à son compte une tradition de la poésie plus ou moins initiée par Les Amours de Ronsard : chacune des quatre parties qui composent le livre s'adresse, au début ou dans le corps du texte, à une femme, mary.