Le quai de Wigan reparaît dans une nouvelle traduction de Clotilde Meyer et Isabelle Taudière : ce livre n’a pas pris une ride.
Marc Porée
« Swimmingly » : nager à l’anglaise
Le romantisme anglais se raconte communément depuis la terre ferme, ou à partir des cimes montagneuses. Mais il existe un autre romantisme, liquide, incarné notamment par Byron et Swinburne.
L’Amérique en bras de chemise
La jeune maison d'éditions Manifeste ! réédite les Lettres d’Amérique de Rupert Brooke, préfacées par Henry James et traduites par Jean Pavans.
Manhattan à tombeau ouvert
Manhattan Transfer est aujourd’hui reconnu comme le portail par lequel le modernisme américain a transité. Le roman de John Dos Passos reparaît dans une nouvelle traduction de Philippe Jaworski.
Le vert sied à John Keats
La poésie de la terre ne meurt jamais rassemble des textes de John Keats autour d'une problématique commune : celle de la nature et du monde végétal.
Saki le Birman
Toutes les nouvelles du Britannique Hector Hugh Munro, dit Saki, sont aujourd’hui rassemblées en un recueil intitulé Le Parlement infernal.
Une traduction musicale et hospitalière de « Mrs Dalloway »
Nathalie Azoulai propose une nouvelle traduction, musicale et accueillante, du Mrs Dalloway de Virginia Woolf.
Une Butler peut en cacher une autre
Frédéric Regard consacre une biographie courte et enlevée à Josephine Butler, défenseuse intrépide des prostituées de Londres dans la seconde moitié du XIXe siècle.
À bout de souffle
Des trois textes réunis dans Invisibles visiteurs, c’est L’homme sans souffle d’Edgar Allan Poe qui, en ces temps de crise sanitaire, retient plus particulièrement l’attention.
L’autre Eliot
L'œuvre nourrie d’équité de George Eliot, née Mary Ann Evans, fait son entrée, en français, dans la Bibliothèque de la Pléiade.
Eric Blair, alias George Orwell
Les romans de George Orwell font leur entrée dans la Pléiade : on y retrouve un écrivain à hauteur d’homme, avec ses forces et ses faiblesses.
Profession : oisif(s)
En 1857, deux écrivains reporters, le drogué Wilkie Collins et le workaholic Charles Dickens signent ensemble Les pérégrinations paresseuses de deux apprentis oisifs, traduit aujourd’hui en français, tout aussi collectivement.