Dans Le songe est une vie : Robert Musil, l'écriture et le féminin, Marie-Anne Lescourret analyse, avec le même esprit critique que l'auteur de L'homme sans qualités, les idées contenues dans cet ouvrage, leur rapport avec les personnages du roman et avec Musil lui-même.
En même temps que le XIVe volume de son Séminaire, riche en formalisations mathématiques assez contestables, ses Premiers écrits permettent de constater que Jacques Lacan était parfaitement capable d’une écriture classique lorsqu’il était encore un jeune psychiatre parisien.
