Usrula K Le Guin
« Eclipse solaire », Howard Russell Butler (1925) © CC0/WikiCommons

En métamorphose continuelle

Céline Minard livre sa lecture d’Ursula K. Le Guin. Elle souligne que son œuvre est « un haut fait de littérature exploratoire », manifestant « une vision mouvante, délicate, éthique, politique et surtout poétique de la bonne façon d’aborder les mondes ».
Lavinia, Ursula K Le Guin
Portrait d’une femme (Iᵉ s.) (Détail) © CC BY-NC-SA 4.0/The Trustees of the British Museum

Topoï

luvan fait la critique, fulgurante, poétique, de Lavinia, ultime roman d’Ursula K. Le Guin, où la femme d’Énée a le premier rôle. Dans ce « récit de métamorphose et de confiance », « nous sommes les lieux => topoï. Où tout peut advenir. Où tout, déjà, est mille fois advenu ».
Ursula K. Le Guin, Searoad
« Vent d’Ouest », George Bellows (1913) © CC0/WikiCommons

Un pas de côté

Dans Searoad, Ursula K. Le Guin entrecroise des récits dans une veine réaliste qui peut surprendre, mais qui fait écho à ses autres livres tout en manifestant des facettes différentes de son talent.
Ursula K. Le Guin
Ursula K. Le Guin (1995) © CC BY-SA 2.0/Marian Wood Kolisch/WikiCommons

La musique des textes

Traductrice de Searoad, Hélène Collon explique comment elle est arrivée à ce livre, et que les traducteurs doivent avoir l’« oreille » capable de capter la tonalité propre à chaque texte.
Ursula Le Guin
Cartographie des astres appellée « Cheonsang Yeolcha Bunyajido » (Corée, 1395) (Détail) © CC0/WikiCommons

D’autres petites lunes

Elio Possoz, auteur des Mains vides, raconte combien sa lecture des Dépossédés de Le Guin a été libératrice, lui permettant de laisser le héros « dans le sac-à-patates où il doit être habituellement rangé ».
Usrula K Le Guin
« Mer de glace », Caspar David Friedrich (1823) © CC0/WikiCommons

« La Vérité est affaire d’imagination »

Pourquoi Ursula K. Le Guin inspire-t-elle autant d’écrivain(e)s ? Tentative de réponse à travers ses deux romans les plus célèbres, La main gauche de la nuit et Les dépossédés.