En trente vignettes, l'autrice de Vertu et Rosalinde met en scène une conception de l’écriture fictionnelle tranchant sur la production contemporaine, autant par son propos iconoclaste que par l’acuité extrême de sa langue.
En trente vignettes, l'autrice de Vertu et Rosalinde met en scène une conception de l’écriture fictionnelle tranchant sur la production contemporaine, autant par son propos iconoclaste que par l’acuité extrême de sa langue.