Maurice Nadeau, dans son immense brassage, a toujours été très attentif à la littérature du Sud, d’Espagne ou d’Amérique latine.
Maurice Nadeau
Nadeau et son Flaubert
Flaubert, ce « miracle de probité littéraire », est l'admiration de toute une vie pour Nadeau. Son « Journal en public » permet de suivre l'aventure de ses relectures.
Nadeau sur Faulkner
Le troisième tome de Soixante ans de journalisme littéraire permet d’observer le changement dans sa manière d’écrire sur un romancier en voie de canonisation : William Faulkner.
Un très grand critique incite à la paresse
Un grand soin mis à éclairer le contexte, l'intrigue et les personnages d'un livre, un éclectisme assumé, aucun préjugés : Maurice Mourier analyse le travail de critique de Maurice Nadeau.
Le sourire d’Hypatie
L'écriture de Maurice Nadeau est une écriture de la conversation tout autant qu’une conversation de l’écriture, va-et-vient de l’impersonnel au personnel.
La critique est un jeu
Maurice Nadeau aborde le texte critique autrement. C’est pour lui un exercice d’une grande liberté, une manière de partager l’acte même de lire.
De Montherlant à Cohn-Bendit
L’éditorial de La Quinzaine littéraire du 1er juin 1968 prend acte de l'événement qui vient d'avoir lieu. Mais Nadeau avait-il vraiment saisi tous les enjeux de la contestation ?
L’œuvre ou la vie
Le tome III des Soixante ans de journalisme littéraire livre ce que Maurice Nadeau pense, tout ce qu’il pense, des ouvrages qui l’accompagnent, l’enchantent ou l’irritent.
Nadeau 68 : le communisme
Adversaire de la première heure du stalinisme, Maurice Nadeau n’a jamais porté dans son cœur le Parti communiste français. Ce qu’il écrit en 1968, année charnière, en témoigne.
Ponts et passages
Dans la pièce qui accueillait les comités de rédaction de La Quinzaine littéraire, un pan de mur était consacré à une série de photos ou dessins d’écrivains, dont le sens s’éclaire à la lecture du troisième volume de Soixante ans de journalisme littéraire de Maurice Nadeau.