Maurice Nadeau

Nadeau et son Flaubert

Flaubert, ce « miracle de probité littéraire », est l'admiration de toute une vie pour Nadeau. Son « Journal en public » permet de suivre l'aventure de ses relectures.

Nadeau sur Faulkner

Le troisième tome de Soixante ans de journalisme littéraire permet d’observer le changement dans sa manière d’écrire sur un romancier en voie de canonisation : William Faulkner.

Le sourire d’Hypatie

L'écriture de Maurice Nadeau est une écriture de la conversation tout autant qu’une conversation de l’écriture, va-et-vient de l’impersonnel au personnel.

La critique est un jeu

Maurice Nadeau aborde le texte critique autrement. C’est pour lui un exercice d’une grande liberté, une manière de partager l’acte même de lire.

L’œuvre ou la vie

Le tome III des Soixante ans de journalisme littéraire livre ce que Maurice Nadeau pense, tout ce qu’il pense, des ouvrages qui l’accompagnent, l’enchantent ou l’irritent.

Nadeau 68 : le communisme

Adversaire de la première heure du stalinisme, Maurice Nadeau n’a jamais porté dans son cœur le Parti communiste français. Ce qu’il écrit en 1968, année charnière, en témoigne.   

Ponts et passages

Dans la pièce qui accueillait les comités de rédaction de La Quinzaine littéraire, un pan de mur était consacré à une série de photos ou dessins d’écrivains, dont le sens s’éclaire à la lecture du troisième volume de Soixante ans de journalisme littéraire de Maurice Nadeau.

Lier, transmettre

Dans ses articles ou ses éditoriaux, Maurice Nadeau n’omettait pas de parler des liens qui l’unissaient à des collaborateurs, à des amis, comme Jean José Marchand (1920-2011) ou Pascal Pia (1903-1979).